topheader

Afrique : plus de 1000 leaders de jeunesse attendus à Abidjan pour le 3ème Sommet de la jeunesse africaine de la ZLECAF et du MAEP

Photo d'archives.
84
S'inscrire à la newsletter

- Advertisement -

Listen to this article

 

L’Organisation panafricain des jeunes des 54 pays d’Afrique (G54 Afrique), organisera du 03 au 07 juin 2024 à Abidjan, en Côte d’Ivoire,  la 3ème  édition du sommet panafricain des jeunes issus de 54 pays d’Afrique.

Ce sommet des jeunes de ces 54 pays africains a plusieurs  objectifs, selon les organisateurs dudit évènement. D’une part, il doit réunir plus de 1000 leaders de jeunesse sous le thème général « Un avenir panafricain inclusif : la ZLECAF et le MAEP au service de la jeunesse ». D’autre part, ce troisième sommet mettra en avant l’importance de l’intégration économique à travers la ZLECAF et de la gouvernance démocratique grâce au MAEP.

Il mettra également un accent particulier sur l’implication de la jeunesse africaine pour un avenir prospère et inclusif sur le continent. Ce qui va consister en la stimulation d’un modèle de sommet de l’union africaine. Il s’agira aussi de vulgariser auprès des leaders de jeunesse africaine de la ZLECA et du MAEP une meilleure appropriation de leurs missions et objectifs.  A en croire la G54 Afrique, ce sommet est d’une importance capitale vus les défis et opportunités que représentent l’intégration économique et la gouvernance démocratique en Afrique.

Le G54 Afrique veut apporter, à travers l’organisation de ce 3ème sommet panafricain des jeunes de ces 54 pays d’Afrique, sa contribution aux décisions des chefs d’Etats de la ZLECAF. Aussi, à travers ce dernier sommet qui aura lieu du 03 au 07 juin 2024 en terre ivoirienne, il veut, en particulier, attirer l’attention des gouvernants sur les décisions prises lors des différentes sessions ordinaires en 2023 concernant le MAEP et en 2021 pour la ZLECAF qui depuis ce temps n’ont  pas vraiment connu d’avancement dans leur applicabilité.

Aussi pour le G54 Afrique, pour ces leaders de jeunesse de ces 54 pays d’Afrique, en leur qualité de force d’avenir, c’est un devoir de s’approprier les dits instruments afin de participer à leur vulgarisation sur toute l’étendue du territoire continental.

                                                                                                                                                              Hélène Aka

- Advertisement -

- Advertisement -

- Advertisement -

- Advertisement -