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Bonoua : Les membres de la CCM de Grand-Bassam s’approprient l’Agenda Femme, Paix et Sécurité

La photo de famille à l'ouverture.
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Le Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO-CI), avec le soutien financier de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), a organisé un atelier de renforcement des capacités des membres de la Cellule Civilo-Militaire du département de Grand-Bassam, sur l’Agenda Femme, Paix et Sécurité. Cet atelier a eu lieu les 17 et 18 septembre 2024 à la salle de réunion de la Sous-préfecture de Bonoua. Il avait pour objectif de contribuer à une meilleure appropriation et mise en œuvre effective des quatre piliers de l’Agenda Femme, Paix et Sécurité: prévention, protection, participation et redressement.

À la cérémonie d’ouverture, la directrice exécutive du REPSFECO-CI, Mafelima Dosso, a présenté sa structure avant de situer l’intérêt de cet atelier. Elle n’a pas manqué de traduire sa gratitude aux autorités pour leur accompagnement, et surtout à la présidente de la Cellule Civilo-Militaire pour la mobilisation.

Les officiels à la cérémonie d’ouverture.

Représentant le maire Jean-Paul Améthier de la commune de Bonoua, Dr Kacou a salué la tenue de cet atelier sur son territoire. Pour elle, le rôle de la femme dans la sécurisation et la paix est important à Bonoua. C’est pourquoi le maire Améthier n’a pas hésité d’apporter son soutien. Mêmes sons de cloche pour Coulibaly Siaka, représentant le sous-préfet de Bonoua, Dr Kra Kouadio. Il a dit l’importance que l’État accorde à la sécurité et la paix face aux menaces du grand banditisme.

Quatre modules ont marqué le contenu de cet atelier qui a vu la présence d’une trentaine de membres de la Cellule Civilo-Militaire du département. Ce sont : « Origine de la résolution 1325 et élaboration du cadre juridique de l’Agenda Femme, Paix et Sécurité » ; « Femme, Paix et Sécurité : défis pour l’Afrique » ; « Femme, Paix et Sécurité : opportunités et priorités pour l’Afrique » ; « Approches d’intervention. »

Une vue dr la salle pendant le séminaire.

Notons que ce séminaire était placé sous la présidence du sous-préfet de Bonoua, et le parrainage du maire Jean-Paul Améthier qui a fait un don en espèce pour soutenir les séminaristes de la Cellule Civilo-Militaire.

Hipson Kanon

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