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Port-Bouet : Le projet « Une femme un projet » forme plus de 500 femmes pour leur autonomisation

La photo de famille avec Agbodedji Arcadius, directeur exécutif de « La Fondation Dorée médicale de Côte d’Ivoire »
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A la faveur du projet « Une femme un projet », plus de 500 femmes bénéficient d’une formation gratuite en pâtisserie,  cuisine professionnelle, décoration évènementielle, bijouterie, maquillage, esthétique, attache de foulards, onglerie, fabrication de produits cosmétiques, jus, sirop, yaourts…en vue de leur autonomisation.

Cette information a été donnée le jeudi 15 juillet 2021 par Agbodedji Arcadius, directeur exécutif de « La Fondation Dorée médicale de Côte d’Ivoire », responsable du volet formation de ce projet « Une femme un projet » à la Mairie de Port-Bouet. En collaboration avec Rébecca Madou, présidente de  « l’Association des femmes heureuses et épanouies », la formation se fait au sein du centre pilote de Port-Bouët individuellement par module par spécialisation.« Nous fonctionnons avec nos propres moyens. Nous avons aussi des partenaires, les personnes de bonne volonté. La Mairie également nous soutient énormément », a indiqué Agbodedji Arcadius. Le directeur exécutif de « La fondation Dorée médicale de Côte d’Ivoire » a fait savoir, par ailleurs, qu’il est confronté à un déficit de communication. Il a également déploré l’exigüité de  l’espace qui selon lui n’est pas adéquat pour une formation de masse. « Pour l’insertion de ces femmes, nous demandons le financement, le suivi et l’installation  pour que cela soit effectif. Voilà ce que nous disons », a précisé Agbodedji Arcadius.

Quelques maquilleuses professionnelles qui ont participé à cette formation ont tenu à réagir. En effet, Kouman Affoua Nadège a dit avoir aimé la formation parce qu’elle lui a donné beaucoup d’expériences. Même argument défendu par Ehinchié Odile, Koné Karidja, Briebia Stéphanie, Tié Bi Lou Olivia. Quant à  Davi Clémentine, elle a affirmé que grâce à la Mairie de Port-Bouët, elles auront un métier. « La formation est bonne. Grâce à la Mairie, nous avons un métier aujourd’hui », s’est-elle réjouie.

Il faut noter qu’à l’unanimité, ses femmes formées ont exhorté leurs camarades et les filles qui hésitent encore à venir se former à le faire. Car cette formation est gratuite.

Salomon Siki

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