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Cohésion et paix en milieu universitaire : Une plateforme de collaboration créée

Une vue de l'atelier.
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La Conférence des Clubs de Paix de Côte d’Ivoire (CCPCI), organe qui regroupe les clubs de paix et de non-violence des universités et grandes écoles, organise avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et des Ministères techniques, un séminaire de mise en place de la plateforme de collaboration entre les universités et les acteurs externes. Cet atelier qui réunit une quarantaine de participants à Grand-Bassam, les 30 septembre et 1er octobre 2021, vise à fédérer les efforts de paix des associations et syndicats estudiantins ainsi que les institutions nationales en vue de la consolidation de la cohésion sociale.

La présidente de la Conférence des Clubs de Paix, Stéphanie Koffi.

Selon la présidente de la Conférence des Clubs de Paix, Stéphanie Koffi, il s’agit pendant les deux jours, de renforcer le leadership des jeunes responsables d’organisation en matière de paix et de cohésion sociale, et leurs capacités en techniques de prévention et gestion des conflits. Aussi a-t-elle signalé la mise en place d’une plateforme de collaboration entre les différentes organisations cibles. « La quête de la paix n’a jamais été définitive. Avec la plateforme qui sera mise en place au terme des travaux, des projets seront présentés afin d’aider chaque étudiant à promouvoir la paix dans l’espace universitaire », a-t-elle fait savoir, avant d’ajouter qu’Il est important que la paix, dans les universités soit une réalité pour l’employabilité dans l’avenir.

« Le dialogue doit être au devant de toute négociation afin de parvenir à la stabilité dans les universités », a souhaité la présidente Stéphanie Koffi qui n’a pas manqué de traduire sa gratitude aux partenaires financiers et techniques pour l’organisation de cet atelier.

Ouvrant les travaux, la Secrétaire générale 1 de Préfecture de Grand-Bassam, Ida Camara, a salué l’engagement des différents responsables de jeunesse à la promotion de la paix dans les universités et grandes écoles privées et publiques. Elle les a exhortés à une participation active aux travaux afin de se doter d’outil performant pour l’atteinte des objectifs.

Notons que des responsables des préfectures de police d’Abidjan et de Bouaké ou leurs représentants sont à cette rencontre de réflexion comme des acteurs externes pour la consolidation de la paix en milieu universitaire.

Hipson KANON

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