Moments de ripailles, s’il en faut. En tout cas, pour ceux qui ont les moyens. Dieu fasse qu’ils en aient encore plus. C’est le souhait de tous. Mais, surtout moments de réjouissances, de fête populaire. Le maire de Koumassi, Ibrahim Cissé Baconco, a déjà donné le ton. Pendant des jours, les gens ont oublié un peu les soucis. Nous voudrions qu’il soit imité dans chaque contrée du pays. Les maires, les présidents des conseils régionaux, les ministres-gouverneurs, les gouverneurs, les ministres, les députés, les directeurs, en tout cas, tous ceux qui ont quelques moyens, doivent se souvenir de ceux qui ne pourront pas se mouvoir pour goûter à ces festivités.
Je pense à ces grands malades d’AVC, par exemple, qui sont dans les domiciles qui ne peuvent pas bouger. Que feront-ils pour goûter, pour partager la joie de tous ces frères et de toutes ces sœurs ? Une simple visite leur suffit amplement. Et dire que c’est une personnalité de la dimension de monsieur Ibrahim Cissé Bacongo, qui est au fait des gestes de ses concitoyens, va vers eux pour leur offrir d’un jour, une poignée de main, quel Bonheur !! Que Dieu le tout puissant, Allah le miséricordieux, vous accompagnent !
N Gnamantêh