Dans le cadre de l’Ecole de la 2ème chance (E2C), le Ministère de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage et l’entreprise Palmci ont lancé depuis le vendredi 30 décembre 2022, le recrutement de plus 1000 jeunes dans plusieurs métiers différents.
A travers un communiqué publié le 30 décembre dernier, le Ministère de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage porteur du projet l’Ecole de la 2ème chance, en collaboration avec l’entreprise Palmci, a lancé le recrutement de plus 750 jeunes dans 7 métiers. Il, s’agit de chauffeurs de véhicule légers, chauffeurs de poids lourds, conducteurs d’engins, ouvriers agricoles, pompistes, agents de suretés.
Ces nouveaux employés en plein recrutement seront sous d’une part au Contrat à durée indéterminé et d’autre part, au Contrat à durée indéterminée (CDI) et (CDD). Les personnes intéressées doivent avoir au minimum le niveau troisième (3ème). Le permis de conduire toute catégorie est exigé. Aussi comme autres conditions de recrutement, avoir 2 ans d’expériences professionnels. Il faut savoir lire et écrire Pour les chauffeurs, pour les ouvriers agricoles, et le BEPC pour les pompistes ainsi que pour les agents de suretés et tractoristes.
Les personnes à recruter, dans le cadre de l’Ecole de la 2ème chance, doivent être des Ivoiriens avec un âge minimum de 21 ans et remplir une fiche d’inscription en ligne. Le recrutement a commencé depuis décembre et prendra fin le vendredi 06 janvier 2023. Pour le 2ème recrutement, le directeur de cabinet du ministere N’guessan Koffi, en charge dudit Ministère, Moustapha Sangaré, a souligné que plus de 250 personnes seront recrutées pour une vingtaine de métiers dans les mêmes conditions.
Lire aussi: https://justeinfos.net/achats-de-jouets-commercants-et-parents-se-plaignent/
Quant au niveau requis les candidats doivent avoir le diplôme du BT, CAP), diplôme de sage-femme. Il aura également le recrutement des agents administratifs, des cuisiniers, des aides assistants sociaux etc.
Propos recueillis par Antoine Kouakou