Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement a, le lundi 03 février 2025, rencontré le personnel du Ministère de la Communication, les structures sous-tutelle, les organisations professionnelles des médias… C’était au Stade de la Haute fréquence de la RTI, dans la commune de Cocody. Cette rencontre se situe dans le cadre de la traditionnelle cérémonie de présentation de vœux des corps constitués à leur ministre.
Le ministre Amadou Coulibaly a, dans un premier temps, indiqué que l’année 2025 s’annonce décisive pour la concrétisation de sa vision pour un secteur de la communication performant et adapté aux enjeux de la digitalisation. « Mesdames et messieurs, chers partenaires et collaborateurs, nos priorités s’articuleront autour de plusieurs axes stratégiques », a-t-il indiqué.
Toujours au nombre des chantiers pour 2025, au dire du ministre Amadou Coulibaly, il est question de la modernisation des infrastructures médiatiques en ce qui « concerne la création de ce que nous avons appelé la cité des médias dédiée aux acteurs du secteur ainsi que de la création de 09 directions régionales, les premières du genre. »
Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement ivoirien n’a pas manqué de relever des réalisations déjà effectuées dont entres autres la mise en place d’un système d’archivage numérique. Il consiste à la préservation du patrimoine médiatique ivoirien. Il a également souligné l’optimisation de la communication gouvernementale à travers la mise en place des plateformes numériques et interactives accessibles.
Il a remercié le ministre Amadou Coulibaly pour son autorisation, comme il est de coutume, à jeter un regard rétrospectif sur ses actions multiformes et engagements durant l’année écoulée qui réaffirment l’effort de l’Etat de Côte d’Ivoire à l’endroit des faitières et acteurs des médias. Pour sa part, Jean Martial Adou, directeur général de la RTI a salué l’esprit de consensus du ministre Amadou Coulibaly et a fait des doléances pour plus de dynamisme au niveau du secteur audiovisuel public ivoirien.
Hélène Aka